Elfriede H La Femme aux épingles: De la névrose obsessionnelle à la mélancolie (en Francés)
Reseña del libro "Elfriede H La Femme aux épingles: De la névrose obsessionnelle à la mélancolie (en Francés)"
Having taken our support on Jacques Lacan's theory about melancoly, this takes us to the heart of the whirlwind of the case dElfriede Hirschfeld. Freud, not receding about his oedip's theory, he is required to undergo in his theory of topological deformation to account for this case. An example among other, for example by extending it by a stadium sadique-anal. If the notion of negative therapeutic reaction reflects the failure of this concept, the texts of Freud, his correspondence with his colleagues, the medical record of the clinic of Bellevue in Switzerland, led by Ludwig Binswanger, also indicate us, that he was teached in his clinic by the subject. What will testify Elfriede Hirschfeld during his second stay in psychiatric institution.This patient of Freud whose name is known and disclosed since 1994, as well as some passages from the inventor of psychoanalysis which evoked her, is here the objet of a broader search which motivates the present publication. This research allowed the identification of all the passages where Freud mention implicitly this patient, without ever naming her. The present work integrates also consultation of the medical record established during the four Mrs. Hirschfeld stays at the Bellevue clinic directed by Dr. Ludwig Binswanger. Notes recorded daily by nurses have enabled us to ensure the clinical perspective that gives coherence to these fragments scattered in the work of Freud, in his correspondence, and meetings of the Vienna Psychoanalytical Society. This clinical perspective is melancholy. Begun in 1999, our research ended in 2013 with the identification of the year of death of Ms. H and access to the knowledge of the surname of its parents, which is not without importance, as we shall see. L'appui pris sur l'apport de Jacques Lacan en ce qui concerne la mélancolie nous entraîne au coeur du tourbillon du cas d"Elfriede Hirschfeld. Freud, ne démordant pas de sa théorie sur l'oedipe, est dans la nécessité de revisiter la catégorie de névrose obsessionnelle qu'il avait créé. Ne cédant pas sur la clinique du sujet, il est amené à faire subir à sa théorie des déformations topologiques pour rendre compte de ce cas. Comme par exemple de la prolonger par un stade dit sadique-anal. Si la notion de réaction thérapeutique négative rend compte du ratage de ce concept, les textes de Freud, sa correspondance avec ses collègues, le dossier médical de la clinique de Bellevue en Suisse, dirigée par Ludwig Binswanger, nous indiquent aussi qu'il se laissait enseigner dans sa clinique par le sujet. Ce dont témoignera Elfriede Hirschfeld lors de son second séjour dans l'établissement psychiatrique.Cette patiente de Freud dont le nom est connu et divulgué depuis 1994, ainsi que quelques passages de l'inventeur de la psychanalyse qui l'évoquaient, a fait l'objet de notre part d'une recherche plus ample qui motive le présent propos Cette recherche a permis l'identification de tous les passages où Freud évoque implicitement cette patiente, sans jamais la nommer - Ainsi notre propos intègre-t-il la consultation du dossier médical établi lors des quatre séjours de Mme H à la clinique de Bellevue dirigée alors par le Dr Ludwig Binswanger. Les notes qui y sont consignées journellement par les infirmières nous ont permis d'assurer la perspective clinique qui donne sa cohérence à ces fragments disséminés dans l'oeuvre de Freud, dans sa correspondance, et dans les séances de la Société Psychanalytique de Vienne. Cette perspective clinique est celle de la mélancolie. Commencée en 1999, notre recherche s'est terminée en 2013 avec l'identification de l'année de décès de Mme H et l'accès à la connaissance du nom de famille de ses géniteurs, ce qui n'est pas sans importance, comme nous le verrons.
